Éd. L'Atelier contemporain, Janvier 2024, 128p.
Première monographie de ce pilier de l'art brut, aux œuvres dispersées. Blandine Ponet part sur les traces de Guillaume Pujolle (1893-1971) qui fut menuisier, douanier, mais aussi peintre. Il fut interné une grande partie de sa vie à l’asile de Braqueville, devenu l’hôpital Gérard Marchant, à Toulouse ; c’est de ce lieu qu’est partie Blandine Ponet, où elle-même a travaillé comme infirmière en psychiatrie.
De là, elle tire les fils de la complexe destinée de l’artiste, ce qui l’entraîne aussi à se pencher sur l’histoire de la psychiatrie, du surréalisme, de l’art brut ou de la dévastatrice première guerre mondiale. Telle est sa manière de lutter contre « l’oubli, l’immobilisme, l’absence d’histoire, l’ordre et la routine ».
L'auteure, ancienne IDE précisément de l'hôpital Marchant à Toulouse, a un DESS psychopathologie clinique, participe aux rencontres PTI de St-Alban, ainsi qu'au comité de rédaction de la revue Empan.
Consulter et acheter 128p. 25€
Première monographie de ce pilier de l'art brut, aux œuvres dispersées. Blandine Ponet part sur les traces de Guillaume Pujolle (1893-1971) qui fut menuisier, douanier, mais aussi peintre. Il fut interné une grande partie de sa vie à l’asile de Braqueville, devenu l’hôpital Gérard Marchant, à Toulouse ; c’est de ce lieu qu’est partie Blandine Ponet, où elle-même a travaillé comme infirmière en psychiatrie.
De là, elle tire les fils de la complexe destinée de l’artiste, ce qui l’entraîne aussi à se pencher sur l’histoire de la psychiatrie, du surréalisme, de l’art brut ou de la dévastatrice première guerre mondiale. Telle est sa manière de lutter contre « l’oubli, l’immobilisme, l’absence d’histoire, l’ordre et la routine ».
L'auteure, ancienne IDE précisément de l'hôpital Marchant à Toulouse, a un DESS psychopathologie clinique, participe aux rencontres PTI de St-Alban, ainsi qu'au comité de rédaction de la revue Empan.
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