C’est avec une profonde tristesse que le conseil d’administration de la SFPE-AT doit vous annoncer la disparition brutale de Jean-Pierre Royol.
La profession perd un clinicien passionné par l’éthique d’une écoute inscrite dans le transfert, passionné par la formation à cette éthique des étudiants accueillis dans l’institut Profac qu’il a fondé, passionné par la transmission et l’échange avec les collègues.
La SFPE-AT perd un ami et un de ses membres les plus actifs, comme en témoignent ses nombreuses communications.
Chacun se souvient de la remarquable organisation des journées Errances, transmises en visio lors de la pandémie qui les avait d’abord annulées.
Il avait en outre mis toute son énergie à créer le site internet, à mettre en place la Newsletter et tous les outils qui ont permis à la Société d’obtenir la certification Qualiopi.
Sa réactivité, sa disponibilité, sa patience aussi, nous disaient la générosité qui le caractérisait. Il aimait le travail collectif, les conversations si sérieuses à bâtons rompus. Et par-dessus tout l’amitié que nous partagions avec lui.
Que Fabienne, son épouse, et toute sa famille sachent combien notre peine est grande et s’associe à la leur.
La profession perd un clinicien passionné par l’éthique d’une écoute inscrite dans le transfert, passionné par la formation à cette éthique des étudiants accueillis dans l’institut Profac qu’il a fondé, passionné par la transmission et l’échange avec les collègues.
La SFPE-AT perd un ami et un de ses membres les plus actifs, comme en témoignent ses nombreuses communications.
Chacun se souvient de la remarquable organisation des journées Errances, transmises en visio lors de la pandémie qui les avait d’abord annulées.
Il avait en outre mis toute son énergie à créer le site internet, à mettre en place la Newsletter et tous les outils qui ont permis à la Société d’obtenir la certification Qualiopi.
Sa réactivité, sa disponibilité, sa patience aussi, nous disaient la générosité qui le caractérisait. Il aimait le travail collectif, les conversations si sérieuses à bâtons rompus. Et par-dessus tout l’amitié que nous partagions avec lui.
Que Fabienne, son épouse, et toute sa famille sachent combien notre peine est grande et s’associe à la leur.